Résurrection

20 mars 2018 par Équipe médias

 

À la croix, Jésus-Christ s’est livré et offert lui-même. Il n’était pas une faible proie piégée dans les mailles d’un filet, victime impuissante de la cruauté humaine. Au contraire, Jésus était en parfait contrôle tout au long de la crucifixion et jusqu’à la résurrection.

Ne croyez pas ce faux concept répandu dans notre culture francophone postmoderne et postcatholique que Jésus n’était en fait qu’un philosophe, un enseignant humaniste ayant connu une triste fin. Non, tout au long de son arrestation et de la série d’évènements culminant à la crucifixion, Jésus avait tout pouvoir d’arrêter ou d’accepter les coups de ceux qui le fouettaient, le battaient et qui lui ont enfoncé les clous dans les mains jusqu’à cette mort atroce.

Jésus n’a jamais été contraint de mourir et de nous aimer jusqu’à la mort. C’était son choix, sa volonté. Il était l’égal de Dieu, mais il a choisi de se livrer, s’humilier et s’abaisser, de servir et de s’offrir comme un sacrifice parfait.

Il s’est dépouillé, accomplissant le plan divin de Dieu Père, Fils et Saint-Esprit, établi depuis la fondation des temps, avant toutes choses, pour la rédemption de chaque être humain. Jésus était en charge et en contrôle de sa propre crucifixion.

Tout le monde le méprisait et l’évitait. C’était un homme qui souffrait, habitué à la douleur. Il était comme quelqu’un que personne ne veut regarder. Nous le méprisions, nous le comptions pour rien. Pourtant, ce sont nos maladies qu’il supportait, c’est de notre souffrance qu’il s’était chargé. Et nous, nous pensions : c’est Dieu qui le punit de cette façon, c’est Dieu qui le frappe et l’abaisse. Mais il était blessé à cause de nos fautes, il était écrasé à cause de nos péchés. La punition qui nous donne la paix est tombée sur lui.Et c’est par ses blessures que nous sommes guéris. (Ésaïe 53:3-5)

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