
Même si nous connaissons Dieu, même si nous aimons Dieu, la vie nous met face à différents choix. Celui dont nous allons parler aujourd’hui est le choix entre craindre ou croire : allons-nous craindre pour les événement
s de notre vie, ou croire que Dieu peut intervenir ?
Pour illustrer, étudions deux miracles de Jésus qui se sont passés à très peu d’intervalles. Deux histoires de la Bible où deux personnes ont reçu des miracles totalement différents. Celle d’une femme, malade de pertes de sang et par conséquent rejetée, qui a besoin d’un miracle de guérison à la suite de 12 ans de maladie chronique; et celle d’un homme, chef de synagogue bien vu et respecté, dont la fille de 12 ans est mourante et nécessite un miracle immédiat.
Peu importe leur histoire, peu importe leurs différences sociales, les deux ont dû faire un choix entre croire en Jésus ou craindre sans demander d’intervention divine. Ces deux personnes représentent deux situations différentes auxquelles Jésus fait face durant la même journée. Trois des quatre Évangiles racontent le récit de ces miracles dont nous reparlerons.
Voici auparavant trois clés que nous pouvons utiliser pour voir Dieu agir dans notre vie.
1- Ne te fie pas à ce que tu penses, ce que tu penses n’est pas toujours la vérité.
2- Ne te fie pas à ce que tu ressens, ce que tu ressens n’est que passager.
3- Ne te fie pas à ce que tu vois, ce que tu vois peut changer.
Voici l’histoire des deux miracles, tirée de l’Évangile de Luc chapitre 8, versets 41 à 56 :
« Jésus était pressé par la foule. Il y avait une femme atteinte d’une perte de sang depuis douze ans, et qui avait dépensé tout son bien pour les médecins, sans qu’aucun ait pu la guérir. Elle s’approcha par-derrière, et toucha le bord du vêtement de Jésus. Au même instant, la perte de sang s’arrêta. Et Jésus dit: qui m’a touché? Comme tous s’en défendaient, Pierre et ceux qui étaient avec lui dirent: Maître, la foule t’entoure et te presse, et tu dis: qui m’a touché? Mais Jésus répondit: Quelqu’un m’a touché, car j’ai connu qu’une force était sortie de moi. La femme, se voyant découverte, vint toute tremblante se jeter à ses pieds, et déclara devant tout le peuple pourquoi elle l’avait touché, et comment elle avait été guérie à l’instant. Jésus lui dit: ma fille, ta foi t’a sauvée; va en paix. »
« Il vint un homme, nommé Jaïrus, qui était chef de la synagogue. Il se jeta à ses pieds, et le supplia d’entrer dans sa maison, parce qu’il avait une fille unique d’environ douze ans qui se mourait. Comme il parlait encore, survint de chez le chef de la synagogue quelqu’un disant: Ta fille est morte; n’importune pas le maître. Mais Jésus, ayant entendu cela, dit au chef de la synagogue: Ne crains pas, crois seulement, et elle sera sauvée. Lorsqu’il fut arrivé à la maison, il ne permit à personne d’entrer avec lui, si ce n’est à Pierre, à Jean et à Jacques, et au père et à la mère de l’enfant. Tous pleuraient et se lamentaient sur elle. Alors Jésus dit: ne pleurez pas; elle n’est pas morte, mais elle dort. Et ils se moquèrent de lui, sachant qu’elle était morte. Mais il la saisit par la main, et dit d’une voix forte: Enfant, lève-toi. Et son esprit revint en elle, et à l’instant elle se leva; et Jésus ordonna qu’on lui donnât à manger. Les parents de la jeune fille furent dans l’étonnement, et il leur recommanda de ne dire à personne ce qui était arrivé. »
Au long du récit, Jésus leur dit de ne pas craindre. Il se sert des trois clés pour que leurs craintes ne les empêchent pas de croire.
Tout comme la femme et Jaïrus, nos craintes nous font croire toutes sortes de mensonges et de pensées qui détournent notre attention de Dieu et attaquent notre foi. À l’époque de l’histoire des deux miracles, l’homme et la femme ont dû surmonter toutes sortes de croyances du temps qui discréditaient Jésus, tel que :
Marc 3. 22 « Les scribes, qui étaient descendus de Jérusalem, dirent: il est possédé de Belzébul; c’est par le prince des démons qu’il chasse les démons. »
C’était tout un pas de foi pour eux que de surmonter ces croyances et craintes pour demander à Jésus le miracle dont ils avaient besoin. Ils ont probablement été paralysés par la question suivante : est-ce que Jésus est vraiment assez grand pour pouvoir régler ma situation? Ils prenaient donc un grand risque, mais ils ont choisi de le faire.
Voici l’histoire des deux miracles, tirée de l’Évangile de Luc chapitre 8, versets 41 à 56 :
« Jésus était pressé par la foule. Il y avait une femme atteinte d’une perte de sang depuis douze ans, et qui avait dépensé tout son bien pour les médecins, sans qu’aucun ait pu la guérir. Elle s’approcha par-derrière, et toucha le bord du vêtement de Jésus. Au même instant, la perte de sang s’arrêta. Et Jésus dit: qui m’a touché? Comme tous s’en défendaient, Pierre et ceux qui étaient avec lui dirent: Maître, la foule t’entoure et te presse, et tu dis: qui m’a touché? Mais Jésus répondit: Quelqu’un m’a touché, car j’ai connu qu’une force était sortie de moi. La femme, se voyant découverte, vint toute tremblante se jeter à ses pieds, et déclara devant tout le peuple pourquoi elle l’avait touché, et comment elle avait été guérie à l’instant. Jésus lui dit: ma fille, ta foi t’a sauvée; va en paix. »
« Il vint un homme, nommé Jaïrus, qui était chef de la synagogue. Il se jeta à ses pieds, et le supplia d’entrer dans sa maison, parce qu’il avait une fille unique d’environ douze ans qui se mourait. Comme il parlait encore, survint de chez le chef de la synagogue quelqu’un disant: Ta fille est morte; n’importune pas le maître. Mais Jésus, ayant entendu cela, dit au chef de la synagogue: Ne crains pas, crois seulement, et elle sera sauvée. Lorsqu’il fut arrivé à la maison, il ne permit à personne d’entrer avec lui, si ce n’est à Pierre, à Jean et à Jacques, et au père et à la mère de l’enfant. Tous pleuraient et se lamentaient sur elle. Alors Jésus dit: ne pleurez pas; elle n’est pas morte, mais elle dort. Et ils se moquèrent de lui, sachant qu’elle était morte. Mais il la saisit par la main, et dit d’une voix forte: Enfant, lève-toi. Et son esprit revint en elle, et à l’instant elle se leva; et Jésus ordonna qu’on lui donnât à manger. Les parents de la jeune fille furent dans l’étonnement, et il leur recommanda de ne dire à personne ce qui était arrivé. »
Au long du récit, Jésus leur dit de ne pas craindre. Il se sert des trois clés pour que leurs craintes ne les empêchent pas de croire.
Tout comme la femme et Jaïrus, nos craintes nous font croire toutes sortes de mensonges et de pensées qui détournent notre attention de Dieu et attaquent notre foi. À l’époque de l’histoire des deux miracles, l’homme et la femme ont dû surmonter toutes sortes de croyances du temps qui discréditaient Jésus, tel que :
Marc 3. 22 « Les scribes, qui étaient descendus de Jérusalem, dirent: il est possédé de Belzébul; c’est par le prince des démons qu’il chasse les démons. »
C’était tout un pas de foi pour eux que de surmonter ces croyances et craintes pour demander à Jésus le miracle dont ils avaient besoin. Ils ont probablement été paralysés par la question suivante : est-ce que Jésus est vraiment assez grand pour pouvoir régler ma situation? Ils prenaient donc un grand risque, mais ils ont choisi de le faire.
Pasteure Stéphanie Reader
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