Les promesses de la prière (partie 1)
1 février 2021 par Équipe médias
Le Dieu de la Bible est un Dieu qui fait des promesses et qui accomplit ses promesses. Il veut que nous bâtissions notre vie sur celles-ci. Il a fait deux sortes de promesses : des promesses inconditionnelles et immuables qui se sont déjà produites ; et des promesses conditionnelles qui dépendent de nous. Ces dernières se réaliseront seulement si nous lui obéissons dans une dynamique de cœur, de conscience et de continuité.
Il nous invite à marcher selon ses promesses – toujours – et jusqu’à la fin de notre vie, afin d’accéder à une vie d’abondance. En faisant cela, nous serons marqués par son empreinte sur nos cœurs et nous participerons à sa nature divine. Mais nous ne pouvons pas être transformés si nous n’apprenons pas à mettre notre confiance dans ses promesses.
Les promesses sont disponibles pour nous, que nous choisissions d’y accéder ou non. Il n’en tient qu’à nous de les réclamer. C’est par la prière que nous pouvons activer les promesses de Dieu et nous en approprier.
L’analogie du poisson carpe Koi
Ce poisson japonais incarne la persévérance, le courage, l’amour et le potentiel. Il peut mesurer 6 cm ou encore un mètre et demi. Tout est question de son milieu de vie. Il restera petit dans un bocal et deviendra grand dans un bassin ou la mer. C’est une notion de potentiel. Le Seigneur nous appelle à être plus que ce que nous avons été, et à ne pas rester dans un « petit bocal spirituel » limité. Il nous invite à saisir chacune de ses merveilleuses promesses pour grandir en lui.
Les 5 premières promesses de la prière
- La promesse d’un ciel ouvert (Dieu qui bénit)
- La promesse de la colombe qui descend
- La promesse de nouveaux commencements et de conquêtes sans précédent
- La promesse de la communion authentique
- La promesse de communication divine dans le combat spirituel
1) La promesse d’un ciel ouvert :
Marcher dans les faveurs de Dieu n’est pas une question de condition extérieure, de circonstance ou de contexte social, familial ou religieux, mais plutôt une question de cœur et de communion avec Christ.
Nous pouvons évoluer avec un certain arrière-plan ou vivre dans une nation considérée comme fermée, mais tout de même vivre un ciel ouvert – tout comme l’inverse. Nous pouvons vivre dans une famille, une église ou un mouvement avec un ciel ouvert, mais vivre personnellement un ciel fermé.
En 2021 la question est : « Est-ce que tu veux vivre un ciel ouvert ou fermé ? » Pour plusieurs, l’année 2020 a été plutôt déchirante. Mais le Seigneur veut ouvrir le ciel pour toi malgré la pandémie et le confinement. Non, la présence de Dieu n’est pas confinée. Il n’y a pas de distanciation, il n’y a pas de couvre-feu pour les promesses de Dieu. Le ciel peut et va s’ouvrir ! Si 2020 fut une année de pandémie, ce fut aussi une année de ciel ouvert, de percées et de progrès qui se multiplieront encore en 2021.
2) Promesse de la colombe qui descend :
Alors que Jésus priait, le Saint-Esprit descendit sur lui comme une colombe avec une branche d’olivier dans son bec, symbolisant ainsi une œuvre de paix, un fruit de l’esprit. Cette paix surnaturelle qui dépasse toutes les anxiétés. Cette paix qui permet de parler à notre âme. Le ciel va s’ouvrir pour toi avec une prière passionnée. Recherche la paix, n’écoute pas ton âme, mais parle lui. Que ton âme se réjouisse en Dieu ! (Psaumes 42. 8-9) Un flot appelle un autre flot. Quelles ondées ou courants passeront sur toi cette année?
Un courant de peur ou de promesses ? Un courant de conspiration ou de confiance ? Un courant de révolte ou de repos ? D’anxiété ou d’apaisement ? De colère ou de confiance ? Quel courant choisiras-tu ?
Choisis les courants et les flots de Dieu. Car si l’on ne vit pas dans les promesses de Dieu, on est aveugle.
Seigneur vient ouvrir le ciel sur nous,
Que ta colombe vienne apaiser nos cœurs,
Je veux voir de l’autre côté, les promesses que tu as pour moi.
Ouvre le ciel Seigneur ! Je vois et je vis par tes promesses. Amen !
